Aujourd'hui, avec la chorale, nous avons chanté dans un endroit pour le moins inhabituel : un aéroport. L'aéroport Charles de Gaulle, pour être précis.
C'était, je l'avoue, la première fois que j'allais dans un aéroport. Et aussi, la première fois que je voyais de gros avions de si près ! La sensation que j'ai eue était assez bizarre... j'ai été impressionné par la taille de ces engins, et j'ai eu une soudaine envie de monter dedans, de partir en voyage. Et surtout, aussi bizarre que ça puisse paraître, j'ai eu l'impression de me rapprocher un peu plus de Tiphaine. Pourtant, je suis resté à Paris, et il n'était pas question de quitter le sol français, ni de quitter le sol tout cours, de toutes façons !
Ca n'empêche pas que le sentiment était là, vous savez, ce sentiment de nostalgie vous donnant l'impression d'avoir loupé quelque chose, l'envie de retourner dans le passé à des moment meilleurs pour pouvoir mieux saisir l'instant qui vous a échappé, pour pouvoir mieux en profiter, au maximum. Revivre ce qu'on a déjà vécu. Mais le vivre mieux.
Bref.
Toujours est-il qu'on a chanté, et plutôt bien ! (mis à part un ou deux petits soucis) et que les gens, quand ils s'arrêtaient, paraissaient être content. C'est assez amusant de voir les clichés qui ressortent : les gens qui prenaient des photos, ou qui filmaient, étaient principalement de type asiatiques. Il y en a même une qui nous a filmé dés le début ! Non, pas pendant qu'on chantait. Pendant qu'on faisait nos vocalises. Ouah... (mais bon, je vous rassure, elle est revenue après, quand on chantait vraiment !)
Ce soir, je devais aller au cinéma avec Jérémie. Je lui ai demandé si ça marchait toujours, il n'a jamais répondu. Donc, soirée en solo devant mon P.C. Et ça se produit de plus en plus souvent. Beaucoup trop souvent.
Désolé pour la photo mal cadrée d'aujourd'hui. Idéalement, j'aurais voulu une photo de la chorale avec un avion qui passait derrière, mais quand la chorale était en place, je chantais, donc je n'ai pas pu prendre de photos. Et quand on était en pause, y'avait plus d'avion qui passait dans la fenêtre derrière nous. Fuck.
C'était, je l'avoue, la première fois que j'allais dans un aéroport. Et aussi, la première fois que je voyais de gros avions de si près ! La sensation que j'ai eue était assez bizarre... j'ai été impressionné par la taille de ces engins, et j'ai eu une soudaine envie de monter dedans, de partir en voyage. Et surtout, aussi bizarre que ça puisse paraître, j'ai eu l'impression de me rapprocher un peu plus de Tiphaine. Pourtant, je suis resté à Paris, et il n'était pas question de quitter le sol français, ni de quitter le sol tout cours, de toutes façons !
Ca n'empêche pas que le sentiment était là, vous savez, ce sentiment de nostalgie vous donnant l'impression d'avoir loupé quelque chose, l'envie de retourner dans le passé à des moment meilleurs pour pouvoir mieux saisir l'instant qui vous a échappé, pour pouvoir mieux en profiter, au maximum. Revivre ce qu'on a déjà vécu. Mais le vivre mieux.
Bref.
Toujours est-il qu'on a chanté, et plutôt bien ! (mis à part un ou deux petits soucis) et que les gens, quand ils s'arrêtaient, paraissaient être content. C'est assez amusant de voir les clichés qui ressortent : les gens qui prenaient des photos, ou qui filmaient, étaient principalement de type asiatiques. Il y en a même une qui nous a filmé dés le début ! Non, pas pendant qu'on chantait. Pendant qu'on faisait nos vocalises. Ouah... (mais bon, je vous rassure, elle est revenue après, quand on chantait vraiment !)
Ce soir, je devais aller au cinéma avec Jérémie. Je lui ai demandé si ça marchait toujours, il n'a jamais répondu. Donc, soirée en solo devant mon P.C. Et ça se produit de plus en plus souvent. Beaucoup trop souvent.
Désolé pour la photo mal cadrée d'aujourd'hui. Idéalement, j'aurais voulu une photo de la chorale avec un avion qui passait derrière, mais quand la chorale était en place, je chantais, donc je n'ai pas pu prendre de photos. Et quand on était en pause, y'avait plus d'avion qui passait dans la fenêtre derrière nous. Fuck.
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Gérard Pasquier et sa contre-basse |
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